SUMMARY The likelihood of a uniform and unconditional answer to this question applying to all sub‐Saharan African economies is negligible. The diversity of result illustrated by the cases of Botswana, Zimbabwe and Zambia is less surprising than the questions the three cases raise in respect to using IMF resources and their appropriateness as an interim source for low and middle income economies where recovery of import capacity from exports is dubious on technical grounds. Although the article stresses the need to emphasise degrees and balances in issues which are ultimately ideological, it concentrates on the empirical validity of IMF assumptions about the causes of external balance and the structures and response patterns of economies. Above all the questions of timing, phasing and sequencing and selectivity are addressed with a view to ensuring that external resource flows achieve stabilisation with adjustment. SOMMAIRE La vraisemblance d'une réponse à cette question, uniforme, inconditionnelle et s'appliquant à toutes les économies des pays de l'Afrique subsharienne, est négligeable. La diversité des résultats illustrés par les cas du Botswana, du Zimbabwe et de la Zambie est moins surprenant que les questions posées par ces trois cas en respect de l'ultilisation des ressources du FMI et de leur à‐propos en tant que sources temporaires pour les systèmes économiques à faible et moyen revenu où le recouvrement de la capacité d'importation grâce aux exportations est douteuse pour des raisons techniques. Bien que l'article insiste sur le besoin de mettre en valeur les degrés et dosages dans des problèmes qui en dernier ressort sont idéologiques, il se concentre sur la validité empirique des hypothèses du FMI concernant les causes de l'équilibre externe et sur les structures et comportements des économies. Par dessus tout les questions de temps, changements progressifs, enchainement et sélectivité sont traitées en vue d'assurer que le flot des ressources extérieures parviennent à la stabilisation avec ajustement. RESUMEN La probabilidad de encontrar una respuesta uniforme e incondicional a esta pregunta es baja. La diversidad de resultados que presentan los casos de Botswana. Zimbabwe y Zambia es menos sorprendente que las preguntas que surgen de los mismos respecto a la conveniencia de recurrir al FMI como fuente temporal de recursos en países en los cuales la capacidad de recuperación de las importaciones con exportaciones es técnicamente dudosa. Aun cuando el artículo pone acento sobre la necesidad de enfatizar matices en temas que son en última instancia ideológicos, se concentra en la validez empírica de los supuestos del FMI sobre las causas del equilibrio externo y las estructuras y formas de respuesta de las economías. Los temas sobre la programación del tiempo, de las etapas y de las secuencias y la selectividad se encaran principalmente con la perspectiva de asegurar que los flujos de recursos externos logren estabilización con ajuste.