Summary National budgets in SSA have major impacts on macro, sectoral and micro economic results simply by being very large relative to total demand and also to supply of most human investment services and of infrastructure. Together with programming for specific policy goals (including balance, redistribution, non‐inflationary finance of necessary expenditure), these automatic impacts are more likely to be positive if analysed and specifically taken into account in policy formulation. While more sophisticated analysis and holistic expenditure and revenue measure conceptualization is needed in SSA, both data quality and operational constraints require simple programmatic (including tax) formulation and operation if either policy or budget results are to improve. Resumé En Afrique sous‐saharienne, les budgets nationaux ont un impact très majeur sur les résultats économiques de niveau macro, secteur et micro en raison du fait de leur grande importance relativement à la demande totale, et relativement aussi à la fourniture de la plus grande partie des services d'investissements humains et d'investissements dans l'infrastructure. Ces impacts automatiques, associés aux programmes qui visent des objectifs de politique spécifiques (y compris l'équilibrage, la redistribution et le financement non‐inflationniste des dépenses nécessaires) sont plus susceptibles de se révéler positifs s'ils sont analysés et intégrés dans les calculs au moment de la formulation des politiques. S'il est vrai qu'en Afrique soussaharienne, une analyse plus sophistiquée et une conceptualisation plus holistique des dépenses et de la mesure des revenus seraient nécessaires, ce sont la qualité des données et les contraintes opérationnelles qui méritent une formulation et une opération programmatique simples (y compris au niveau fiscal) si l'on veut améliorer et la politique, et les résultats budgétaires. Resumen Los presupuestos nacionales en el Africa sub‐Sahariana tienen un impacto trascendental en los resultados macro y microeconómicos, así como en los de economías sectorales, simplemente porque son muy grandes en relación a la demanda total y también a la provisión de la mayoría de los servicios de inversiones humanas y de infraestructura junto con la programación para metas específicas (como equilibrio, redistribución y financiación antiinflacionaria de los gastos inevitables); estos impactos automáticos tienen mayores posibilidades de éxito si son analizados y tomados en cuenta a la hora de formular pautas de acción. Si bien es cierto que en el Africa sub‐Sahariana se necesitan análisis sofisticados, expensas holísticas y conceptualización de la medición de las rentas, tanto la calidad de la información como las restricciones operacionales requieren formulación y operación programática simple (incluyendo impuestos) para asegurar el mejoramiento de los resultados de políticas o presupuestos.